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Claude DeBellefeuille a dénoncé un budget d’ingérences dans les champs de compétence du Québec qui servira bien davantage les intérêts électoraux de Justin Trudeau que les citoyens de Salaberry-Suroît.
Salaberry-de-Valleyfield, 16 avril 2024 – Claude DeBellefeuille, députée du Bloc Québécois de Salaberry-Suroît, assistera à la conférence de Mario Beaulieu, député de la Pointe-de-l’Île, le dimanche 21 avril de 10h00 à 12h00, dans le cadre des conférence organisée par le Café Agora.
M. Beaulieu viendra présenter les résultats de son étude intitulée : Quand la politique linguistique fédérale conduit à financer l’anglicisation du Québec.
Le porte-parole du Bloc Québécois en matière de Solidarité sociale, Denis Trudel, a déposé aujourd’hui un rapport qui révèle la sévérité et l’ampleur de la crise du logement. Fruit d’une consultation menée à la grandeur du Québec durant un an, ce rapport dresse un portrait exhaustif de la crise et propose des solutions à mettre de l’avant le plus rapidement possible. La députée de Salaberry-Suroît, Claude DeBellefeuille, demande à Ottawa de stopper ses ingérences et d’arrimer ses programmes à ceux du Québec qui doit avoir toute la latitude pour régler efficacement cette crise.
Nos agriculteurs sont en colère et je les comprends. Travailler la terre a toujours comporté son lot de défis, mais les difficultés des dernières années (pandémie, conditions météorologiques extrêmes, hausse des coûts de production, etc.) sont venues ajouter un poids à un fardeau déjà très lourd. L’agriculture, comme la santé et l’éducation, doit être une priorité parmi les priorités.
Salaberry-de-Valleyfield, 4 avril 2024 – En vue du budget fédéral qui sera déposé le 16 avril, la députée de Salaberry-Suroît, Claude DeBellefeuille, s’allie à des producteurs locaux pour demander au gouvernement fédéral une suspension de la taxe d’accise pour le vin d’érable et le vin de fruits.
Il y a une importante crise du logement au Québec, Salaberry-Suroît n’y échappe pas, et il est urgent de s’y attaquer. Les locataires et les premiers acheteurs sont les premiers à vivre avec cette réalité qui prend de l’ampleur. Pour faire face à la crise, il faut construire davantage et préserver ce qui reste de logements abordables dans nos communautés.